Une tempête s'acharne sur une barque mêlant gens du peuple et aristocrates. Jésus, parmi les voyageurs, les sauve parce qu'ils croient en Lui. Plus tard, le narrateur dans une hallucination rencontre l'Eglise vieille, aigrie et ridée et comprend qu'il doit se consacrer à elle.
Croire c'est ... vivre. Telle est la morale de ces deux contes réunis dans cette nouvelle. Comme cela arrive parfois à Balzac, l'unité de la nouvelle n'est pas vraiment assurée.